Rédaction de contenu web, textes professionnels et privés

Professionnelle de l’écrit depuis + de 12 ans, je réalise la rédaction de contenu web et non web, textes professionnels et/ou privés, ainsi que relecture, correction, reformulation de tous vos projets. J'écris au quotidien, des articles pour sites web, revues, blogs, chroniques littéraires... Sur le Net, je rédige des descriptions de produits pour sites de vente, fiches métiers pour annuaires, articles divers. Je respecte vos délais, impératifs, et confidentialité de vos projets. Votre satisfaction est ma priorité.

Petite pause

Le moment tranquille...

Le temps d’une petite pause dans mon activité et pour prendre quelques minutes de détente, il m’arrive de parcourir le web sur une idée quelconque ou plus précise, selon le moment.
Eh oui, même mes pauses détentes sont généralement actives, ne sachant pas rester assise à ne rien faire ne serait-ce que le temps d’un café, ayant la sensation de perdre mon temps.

Ecrivain public
31 Août
Aujourd’hui, je me suis dit : "Tiens, le temps de cette pause (café dans une main, tapotage clavier de l’autre), je vais regarder ce que dit Wikipédia sur le jour de ma naissance", soit le 31 Août. On se distrait comme on peut, avec les idées du moment, tant que ça ne fait de mal à personne !

Je fais quelques découvertes intéressantes pour certaines, amusantes pour quelques autres et sans exaltation pour les dernières. Peu importe !

Je constate que Laurence Parisot, présidente du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), est née ce même jour, 8 ans auparavant. Serge Blanco, joueur de Rugby français, et Eric Zemmour qui lui est joueur également mais avec les mots puisqu'il est journaliste et écrivain, sont eux aussi du 31 Août mais 9 ans avant moi tout comme Richard Gere pour l’année 1949 (décidément, me sens jeune tout d’un coup !)


Vincent Delerm est également né un 31 Août, 9 ans après ma propre naissance (ça y est, je prends le coup de buis, je vieillis !)
Mais visiblement, aucune personnalité ne serait née le même jour et la même année que moi. Je lance donc une petite recherche sur Google, notre cher ami qui se démène pour nous satisfaire. Et là, je découvre sur Evène que Stéphane Carlier, écrivain français, n’est pas sur la liste de Wikipédia pour l’année 1969.

Alléluia !

Je finis tout de même par trouver quelqu'un  né comme moi le 31 Août 1967, non présent sur la liste du 31 Août mais ayant quand même une page à son nom. Il s’agit de Hervé Crès, sur Wikipédia ici : & et sur Evène ici : &

Ecrivain public
31 Août
Ce nom ne vous dit peut-être rien, je vous rassure, moi non plus ! (enfin… plus maintenant).
Cependant, d’après ce que dit Evène, Hervé Crès est le directeur de Science-Po. Néanmoins, Wikipédia ne semble pas très à jour sur ce point.
Son parcours est expliqué sur Evène, ici : &

Bon, après cela je me sens toute petite, cela dit ça ne m’empêchera pas de poursuivre ma petite vie heureuse, de continuer à aider mes gentils clients en mettant ma passion des mots à leur profit, d’écrire mes histoires et mes romans, de publier ma revue mensuelle et de tenir mon association d’aide aux auteurs.

Je ne sors certes pas de Science-Po, toutefois cela n’empêche pas que mes journées sont plus que bien remplies et que parfois j’apprécierais qu’elles comptent 48 heures au lieu de 24. Comme quoi, il n’y a pas nécessairement besoin de sortir de la "Cuisse de Jupiter"… Vous connaissez la suite !

Comme toujours, vous pouvez faire part de votre avis en commentaire tout en conservant respect et correction. J'apprécie de lire les différents points de vue, de les analyser pour les comprendre. Vos réactions n’intéressent.


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Le « bébé » à naître

Petit stress quand tu nous tiens !

Je sens un petit stress monter tout doucement (non, non, je ne parle pas de la chanson de Bibie, même si je voudrais "arrêter les minutes supplémentaires").
Il arrive parfois que nous soyons pressés d'arriver à une date précise qui n'est autre qu'une date fatidique pour un évènement important que nous attendions depuis parfois des mois, et je dirai même avec une profonde impatience. Et lorsqu'on y est presque, à quelques jours du carillon, ça sent la déstabilisation à plein nez. Comme si Big Ben traversait la manche pour claironner plus fort à nos oreilles.

Après sept livres publiés, je devrais avoir l'habitude, me direz-vous ! Eh bien non, on ne s'habitue point mes amis, car chaque ouvrage est un «bébé» de plus pour lequel on a mis tout ce que l'on a en soi afin de lui donner naissance avec tous les atouts dont il aura besoin pour sa vie future qu'on lui souhaite bien plus longue que la nôtre, finalement.
On lui a consacré tant d'heures, de jour comme de nuit, car l'inspiration est honteusement mal élevée parfois, et parfois souvent, d'ailleurs. Mais, sans elle, le «bébé» ne prendrait pas vie, alors on lui pardonne ses écarts et ses extravagances (c'est pour la bonne cause).

On aura couvert tant et tant de pages de cahiers (à spirale pour ma part), durant des mois et des mois, lu et relu, écrit et réécrit, corrigé et annoté, modifié et ajouté où encore supprimé tant de mots, de phrases, d'éléments avant de parvenir au jet final ou presque, ce tout petit point qui indique, voire remplace le mot FIN.

Et quand bien même, il nous faut parfois se mettre soi-même un coup de pieds aux fesses pour se décider qu'il est temps d'arrêter, d'aborder la fin parce que le «bébé» est prêt.

Mais, ce n’est pas fini…

Ensuite, il y a tout un travail avec différents «acteurs», tellement importants eux aussi que sans leur présence, il n'y aurait pas de suite ; l'éditeur, la correctrice, la graphiste, l'illustratrice, etc. Ces étapes toutes aussi sérieuses les unes que les autres. Toutes ces étapes qui prennent des semaines et sont tout autant de raisons pour des échanges de mails, d'appels téléphoniques sans discontinuer que le nombre en devient impressionnant.

Et puis, il y a la couverture... Ah, la couverture ! A elle toute seule elle a une importance immense puisque c'est par elle que le lecteur sera accroché ou repoussé. Elle doit être visuelle et refléter à elle seule l'histoire ou tout au moins un élément important de celle-ci.

Et pour terminer ce parcours qui parait sans fin, il y a le passage chez l'imprimeur, le plus veinard peut-être, où l'ouvrage prend vraiment naissance dans sa forme, celle que vous lecteurs vous aurez en main. Ce moment qui pour l'instant n'appartient qu'à l'imprimeur durant quelques heures, parce que ce «bébé» c'est lui qui l'a en main le premier. C'est lui qui a la chance d'être l'élu pour le voir avant tout le monde dans sa version finale, bien avant l'auteur lui même.

Ecrivain public
Poil d'or
Tant de mois s'écoulent entre le premier mot et l'ouvrage achevé. Tant de sueur, de larmes parfois, de peur aussi de ne pas parvenir au bout (comme je l'ai dit, l'inspiration est si souvent mal élevée), peur également de ne pas parvenir à vous plaire, à vous lecteurs. Car, rien n'est jamais acquis dans la vie, il serait imbu de le penser. Tout se mérite, on n'a rien sans rien. Tout se travaille, rien ne tombe du ciel. Tout se gagne ! Non, rien n'est jamais acquis. Donc, la peur a sa part de légitimité incontestable.


L'heure du jour de la sortie officielle approche. Cinq jours ! Cinq jours, c'est ce qui me sépare encore de cet évènement où je tiendrais enfin dans mes mains mes deux derniers ouvrages. Un roman intitulé «La vie est parfois une surprise» et mon premier conte pour enfants intitulé «Poil d'or, le lapin géant».

J'ai «peur», mais j'ai hâte, finalement !

Rendez-vous le 08 décembre 2012 à partir de 19h30.
Toutes les informations sur Trinôme Editions 
ou sur Facebook évènement : http://www.facebook.com/events/131790980305317/


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Comme des sœurs spirituelles

Les mystères de la personnalité humaine

N’avez-vous jamais ressenti une sorte de fusion entre vous et une personne se trouvant dans votre entourage, géographiquement proche ou lointaine ?
Eh bien voilà, pour les personnes à qui ça n’est jamais arrivé, méditation et réflexion vous sont proposées ici, sur ce sujet.

Il y a des personnes qui passent involontairement inaperçues et qui cherchent par tous les moyens à capter votre aura pour se rapprocher de vous, parce qu’elles vous apprécient, parce qu’à un moment elles ont été subjuguées par votre personnalité, parce que… parce que… parce que…

Et puis, il y a celles qui laissent une empreinte inattendue (là aussi tout à fait involontairement), comme un goût de "reviens-y" ! Et sans le savoir, vous avez provoqué la même sensation chez cette (ces) personne(s).
Je ne parle pas de sexe, hein ! Que ceci soit bien clair pour les âmes fougueuses. Non, comme l’indique le titre de ce propos, je pense à quelque chose de plus mental, spirituel. Une connivence. Une complicité. Une sorte de fusion de deux êtres, principalement en ce qui concerne les idées, la personnalité, les pensées, la notion des choses, etc.

Comme des sœurs spirituelles
Comme des sœurs spirituelles
Je rédige des articles sur des sujets aussi divers que variés mais toujours parce qu’à un moment donné, j’ai ressenti le besoin de le faire. Et régulièrement, une personne de mon entourage littéraire, géographiquement éloignée, en a rédigé elle aussi sur les mêmes sujets sans s’être aucunement concertées. Nos styles sont certes différents, néanmoins les idées, les opinions, etc. sont sensiblement similaires.

Surprises et plaisir lorsqu’il s’agit de quelqu’un (comme ici) que vous appréciez. Au début, on s’interroge. Comment est-il possible de se ressembler autant mentalement ?
Cependant, cette interrogation est plus grande lorsque la personne en question est une fraîche connaissance du web que vous n’avez rencontrée qu’une seule fois de visu mais qui à ce moment vous a donné l’impression de l’avoir toujours connue. Comme si, au fin fond de vous, elle existait déjà n’attendant que cette rencontre pour se révéler à votre regard, votre moi profond.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu le regret de ne pas avoir eu de sœur, alors quand j’analyse cette corrélation entre cette femme et moi, cette personne qui me paraît finalement assez proche, je me dis qu’elle aurait pu être cette sœur, tout comme aurait pu l’être mon amie d’enfance pour d’autres raisons.

Lisa, c’est le L de la liberté ; celle de l’expression, celle de la vie, celle de l’action qui l’anime et ce en quoi je me retrouve. C’est le I de l’initiative ; celle d’aller vers les autres, celle de construire ne serait-ce par les mots, celles d’être et de se montrer telle qu’elle est avec franchise, naturel et honnêteté. C’est le S de la sensibilité ; celle qui ne se calcule pas, celle qui est née avec le cœur, le corps, l’âme sans l’once d’une tricherie. Et puis, c’est le A de l’amitié ; celle qui n’a pas de condition, celle qui est vraie et ne se contente pas de faux-semblant.

Je n’ai pas de sœur, cela dit si je devais m’en trouver une, elle serait donc spirituelle et se nommerait Lisa.


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Extrait de "Camille, regarde devant toi !"

Extrait de « Camille, regarde devant toi ! », de Marie BARRILLON
Bien souvent, elle se demandait si un seul homme au monde pouvait correspondre à l’idée qu’elle se faisait de l’homme idéal. Son idée était bien particulière, complexe et pleine d’exigences. De ce fait, elle était rarement partagée. A cette question, chaque femme témoigne de sa propre perception. De ses propres désirs aussi. Invoquant d’innombrables indications et avis plus ou moins logiques, légitimes, mais aussi parfois farfelues. Elise, elle, avait ses propres convictions sur ce sujet où tant d’avis divergent, tant de points de vue diffèrent, sans pour autant croire que ses convictions soient les meilleures. Ce sont les siennes, c’est tout !

Tout est très net dans son esprit. Les qualités ne doivent pas être exagérées et les défauts, s’ils ne sont pas trop prononcés, sont des à-côtés pas forcément primordiaux. Personne n’étant parfait.

Pour elle, l’homme idéal c’est celui qui, lorsqu’on le quitte le matin, nous envahit d’une envie folle et tenace d’être déjà le soir pour le retrouver enfin. C’est celui que nous pourrions appeler trente fois par jour sans jamais nous lasser, juste pour entendre le son de sa voix qui nous étonne chaque fois par sa teneur, sa douceur, son enthousiasme, tout en nous comblant de bonheur. C’est celui qui nous affirme qu’il n’attendait que cet appel pour ensoleiller son ciel, ou bien qu’il allait lui-même appeler, parce qu’il ressent un manque quant à la femme qu’il aime et que son cœur transpire d’amour impossible à partager avec n’importe qui d’autre qu’elle.

C’est celui qui chaque fois qu’il nous prend la main, c’est comme un éternel recommencement. Une première fois à chaque fois. Comme la première rencontre qui se reproduit constamment dès qu’on le voit. Le premier baiser qui renaît comme une redécouverte constante. La première chaleur qui envahit encore et encore. Un frisson qui nous parcourt, similaire au tout premier, toujours unique et qui nous surprend à chacun de ses retours. Une multitude de surprises qui s’instaure, sans qu’on ait besoin d’y réfléchir vraiment. Sans qu'on ait besoin de chercher. C’est là. C’est présent à chaque instant.

Cet homme, c’est celui qui, sans nous faire l’amour, nous transporte au nirvana à bout de bras et de tendresse, d’amour et de délicatesse. Il est la porte qui s’ouvre sur une nouvelle naissance sans heurt. Il est le coup de vent inattendu qui balaie toutes les vieilles déceptions, les incertitudes, les colères. Il est la beauté, même dans la laideur. La joie, même dans la peine. Le brin de gaieté au détour des tristesses. Il colle un sourire indélébile sur notre visage dès le premier regard. Il prend nos larmes dans ses mains et les étale sur son cœur pour qu’elles sèchent à l’abri des regards indiscrets. Il murmure à notre oreille les mots de réconfort que lui seul est capable d’apprivoiser au moment opportun et les prononcer pour nous apaiser. Lui seul est en mesure d’inventer, de doser pour nous restituer notre bien-être. Cet homme, c’est aussi celui qui peint notre univers de toutes les couleurs gaies et chatoyantes dans un savant mélange que seul l’amour peut apporter. Il en abolit le noir parce qu'il rime trop souvent avec désespoir et qu'il ne veut nous voir qu'heureuse. Belle dans le bonheur qu'il donne sans compter. Qu'il réinvente à chaque occasion. Sans même le savoir lui-même.

Marie BARRILLON, Marie LEMOINE
Camille, regarde devant toi !
Il est celui qui, même après vingt ans de galère à marée haute et de repos à marée basse nous avoue encore du fond du cœur qu'il nous aime à en mourir, parce que sans celle qu'il aime, il ne peut pas y avoir de continuité dans la vie, pas d’avenir. Pas de devenir. Pas de saveurs nouvelles. Il est là à essuyer notre nez quand, après l’éclatement d’une peine indicible, nous avons trop pleuré seule, et que le total de nos douleurs devient trop pesant.

Il est celui qui nous donne son avis quand on en a besoin avec un plaisir évident, et qui se tait en observant dans le respect du silence nos actions lorsque nous les souhaitons solitaires sans pour autant être loin de lui. Non au contraire, être tout près. Là, presque collée à sa peau en permanence. Etre scellée à lui invisiblement. Cœur contre cœur. Peau contre peau. Main dans la main. L’amour au pluriel. Les sentiments… Les sentiments plus forts que tout !

Il est jaloux, juste un peu mais pas trop pour ne pas tout empoisonner, afin de ne surtout pas empoisonner cet amour qu’il partage avec cette femme en le conjuguant à tous les temps, si facilement parce qu’il ne peut pas en être autrement. Parce qu'avec lui, tout est devenu si facile. Presque transparent. D’une beauté sans maquillage. D’une réalité visible.

Puis, il est celui aussi qui se met devant nous pour réceptionner tous les coups bas de la vie. Toutes les déceptions soudaines. Tous les travers dangereux. Tous les fossés qui surgissent de manières inopinées. Il est en permanence sur ses gardes pour nous protéger, pour nous épargner autant que possible de sa force parfois incertaine. Ce n’est pas grave, le geste est là. Il n’est pas non plus superman, n’exagérons pas. Mais il est tout de même notre héros dans notre histoire bordée d’éternité scintillante. Notre héros dans cette réussite tellement désirée.

Face à l’inconnu, il se veut rassurant, il fait tout ce qui est en son pouvoir pour nous en persuader. Que la confiance perdure entre nous est son cheval de bataille. Il prend toute la vie à bras le corps pour notre bonheur commun. Il se soigne et nous soigne de tous les maux, petits ou grands. Il nous caresse en permanence même si ce n’est qu'avec les yeux. Parce que oui, ses yeux voyagent sur notre visage, il en connaît les moindres reflets. Les plus petits traits. Toutes les courbes. Toutes les facettes. Tous les changements tour à tour gais ou tristes. Notre regard est sa lumière. Nos mains, il les tient tendrement ne serait-ce que par l’esprit. Par le cœur. Par la pensée. Par l’amour.

Pour lui, tout ce qui est sa femme est source de voyage enchanteur. Un apaisement constant pour le cœur. Un bonheur permanent. Une passion continuelle. Il est à l’affût de ces voyages, qu'il espère éternels. Il fait en sorte qu'ils le soient. Notre seule présence simplement suffit à le rendre heureux. Notre absence contribue à le rendre toujours plus amoureux. Il nous aime et sa sincérité est évidente. Ses sentiments sont emplis de pureté, sans aucune noirceur, sans aucune question qui dérange ou qui n’aurait pas lieu d’être, sans aucun reproche mal placé.

Finalement, après l’énumération des points concernant l’homme idéal, Elise en arrivait à supposer qu'il n’existait pas, ou bien qu'il devait être trop éloigné et inaccessible. Autant chercher une aiguille dans une meule de foin. Et encore ce serait bien plus facile de parvenir à la trouver, elle. Plus évident.


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Pour information : Marie BARRILLON est mon nom d'auteur

Nous, auto-entrepreneurs

Sauvons notre liberté !

Auto-entrepreneurs, notre statut est en pleine tachycardie ces derniers temps !
A l'heure où la crise continue de sévir sérieusement et que l'on n'est pas prêt d'en voir le bout, l'objectif de chacun est de chercher à protéger son emploi, le conserver. Ou tout au moins le sauver.

Et alors que le chômage ne cesse d'augmenter, il est des interrogations dans tous les esprits (ou presque) qui là aussi ne cessent de s'additionner les unes aux autres. Lorsque l'on est entrepreneur, on doit continuellement trouver de nouveaux clients, prospecter en permanence, se faire connaître et reconnaître le plus possible. C'est donc également le cas pour les auto-entrepreneurs qui n'échappent donc pas à là règle. Ça a l'air simple comme ça, mais c'est loin de l'être en réalité. Ceux qui le croient, n'ont pas tenté l'expérience. Rien ne se fait avec facilité et encore moins les doigts dans le nez ! Qui plus est, ça prend un temps considérable.

Cela dit, on ressent cette notion de liberté et de plaisir d'être son propre «patron», de ne rien devoir à personne et j'en passe sur les motifs qui alimentent ce plaisir.
Alors quand les politiciens d'un nouveau gouvernement s'amusent à glisser de gros grains de sable dans les rouages de notre statut, c'est tout notre quotidien qui se teinte de couleurs sombres, pour ne pas dire de noirceur, ajoutant une, voire des angoisses supplémentaires.

Et lorsque ces mêmes politiciens décident d'augmenter les charges sous prétexte de nous faire «participer» (pas le choix, on nous l'impose) à l'effort national concernant la dette du pays dont nous ne sommes pas responsables (oui, je le dis, même pas peur !), nous commençons à verser une petite larme ! Mais soit, participons ! D’après un article paru sur le site de la FEDae : « Le projet de loi de finances pour 2013 prévoit le fin de l’exonération de cotisations sociales pour les salariés créateurs ou repreneurs d’entreprise instituée par la loi n° 2003-721 du 1er août 2003 pour l’initiative économique. Initialement, cette mesure visait à encourager les salariés à créer ou à reprendre une entreprise…» 

Mais...

Ben oui, comme souvent, il y a un mais ! Lorsque vous constatez qu'après avoir augmenté vos taxes, votre plafond de chiffre d'affaires, lui, n'a pas augmenté d'un iota, vous voyez forcément rouge face à une perte sèche qui rend la pilule difficile à digérer. A mon avis, c'est un moyen malhonnête et détourné pour obliger les auto-entrepreneurs à changer de statut sinon abandonner leur auto-entreprise (ça n'engage que moi !)
Parce qu'à un moment donné, ne nous leurrons pas, beaucoup d'auto-entrepreneurs seront pris à la gorge et n’auront plus le choix, peut-être même en ferais-je partie.

Faisons un simple calcul sur un chiffre d'affaires de 32000 (déjà il faut y arriver !) Actuellement, pour une profession libérale telle que la mienne (pour prendre un exemple sans citer personne) elle est «taxée» à 18,3% hors impôts soit un total des taxes de 5856€, il reste donc 26144€ (sur un an bien sûr !) hors impôts
Faisons maintenant le calcul avec 3% de plus, donc 21,3%. 32000€ taxés à 21,3% soit 6816€, il reste donc 25184€ hors impôts. Perte sèche 960€. Comme je le disais, le plafond n'a pas augmenté pour nous permettre de pallier à cette perte « les seuils de chiffre d’affaires sont gelés », toujours d’après l’article de la FEDae .

En dehors de cela notre statut dérange et se retrouve attaqué de toutes parts, quelques explications ci-après.

A qui doit-on dire un merci plein de rancœurs et d'amertumes ?
Aux artisans pour commencer, ou à certains en tout cas, responsables de tels tollés, à mon sens injustifiés. Car c'est bien à ceux-là que nous devons la situation actuelle ainsi que tous ces dénigrements incessants.
Puis, nos remerciements amers iront tout droit à l'Elysée, aux pieds de tous ceux qui au sein de ce gouvernement souhaitent nous anéantir.

Tandis que certains souhaitent limiter notre statut, (des rumeurs annoncent 18 mois alors que chacun sait que c'est largement insuffisant pour qu'une activité soit pérenne), d'autres aimeraient bien le voir carrément disparaître. Ce serait des milliers de personnes qui ont créé leur propre emploi, qui ont donné à leur vie une valeur et surtout, SURTOUT qui ont la fierté de ne pas profiter des aides de l'état et qui se retrouveraient en situation de grande précarité. Car rappelons-le, si tant est que cela soit nécessaire, les auto-entrepreneurs n'ont pas droit au chômage !

Mais alors, que souhaite l'état ? Anéantir ces entrepreneurs ? Sous quelles véritables raisons ? L'état préfère-t-il donc verser des indemnités de chômages au lieu de valoriser les futurs créateurs qui dans les conditions actuelles n'oseront plus se lancer ?
C'est en tout cas ce que nous pourrions presque penser face à de tels agissements.
Touche pas à mon auto-entreprise
Touche pas à mon
auto-entreprise

La FEDae défend bec et ongles notre statut et pour leur permettre d'avoir plus de poids une pétition en ligne circule : Pétition. Cette pétition est baptisée «Touche pas à mon auto-entreprise». Sur ce lien vous trouverez notamment un badge à apposer sur votre photo Facebook ainsi qu'un autre badge téléchargeable.


auto-entrepreneurs
auto-entrepreneurs

Actuellement, et en tout cas au moment de la rédaction de mon article, il y avait 22 483 signatures (dont la mienne évidemment). Toujours sur la page de la pétition, vous avez la possibilité de laisser un commentaire afin de réagir au débat. Bien sûr, pour ceux que cela intéressent, vous pouvez adhérer à la FEDae, ce qui offre des avantages que je vous laisse découvrir sur ce lien : FEDae adhésion. (Je ne l'ai pas encore fait, mais j'y pense !)


Après cet intermède, revenons à nos moutons ou plus précisément à nos soucis du moment et pas des moindres. Wikipédia, la si agréable encyclopédie qui offre presque toujours des réponses à nos questions (je dis presque parce qu'après sept livres publiés, bientôt neuf, la création d'une revue sur en ligne et la création d'une association d'aide aux auteurs, mon pseudonyme d'auteur n'y apparaît pas car ils ne me considèrent pas comme auteur (?). Réponse faite à une personne de ma connaissance après un mail. Mais là, je m'égare franchement !).
Je disais donc que Wikipédia nous informe :
«L'auto-entrepreneur est un régime français destiné à faciliter là création d'une activité entrepreneuriale». Merci Wikipédia de bien vouloir faire parvenir cette page à ces gens du gouvernement en place car visiblement tout le monde n'a pas la même définition du terme «facilité» (tiens, c'est bientôt Noël, et si j'envoyais un dico à l'Elysée ?)

D'après les explications rapportées par Wikipédia concernant les critiques sur notre cher statut, je n'en citerai que quelques-unes en y ajoutant mon avis car celui-ci a tout autant d'importance à mes yeux que celui de mes confrères et consœurs :

1) « Un certain nombre d'entreprises, plutôt que d'embaucher, demanderaient illégalement à leurs salariés de prendre le statut d'auto-entrepreneur et de facturer des prestations à l'entreprise, afin d'augmenter leur flexibilité et leur productivité (par la précarisation), et de s'épargner les charges salariales. »
Je répondrais qu'il serait plus judicieux de pénaliser ces entreprises malhonnêtes plutôt que de s'en prendre à l'ensemble des auto-entrepreneurs désireux de s'en sortir honnêtement. Ne savent-ils pas qu'on ne doit pas mettre tout le monde dans le même panier ? Personnellement, on m'a appris cela alors que je n'étais encore qu'une enfant haute comme trois pommes !

2) « Le monde des artisans, installés en tant que tel, se plaint également de la concurrence de ce statut et des conditions plus favorables fait aux auto-entrepreneurs sur le plan des contributions sociales et de la fiscalité. »
Ma réponse est simple comme bonjour et d'une évidence éclatante. Si les artisans y voient un intérêt meilleur que le leur, qu'ils se mettent en auto-entreprise. Mais non, ils ne le feront pas car en tant qu'artisans, ils récupèrent la TVA, intègrent leurs dépenses, ne sont pas plafonnés en chiffre d'affaires, etc. Par contre, au risque de me faire taper dessus virtuellement, beaucoup d'entre eux (pas tous heureusement, mais beaucoup tout de même) ne déclarent pas la totalité de ce qu'ils encaissent réellement, en l'occurrence ce qui leur est payé en espèces sonnantes et trébuchantes (désolée de le dire, mais si je le fais c'est parce que ce n'est pas un scoop ni même une révélation surprise !)

3) « Un troisième axe de remise en cause de ce statut s'appuie sur le bilan statistique des premières années de fonctionnement, dressé par l'Insee. Selon les études de cet organisme, publiées mi-2012, moins d’un quart des auto-entrepreneurs ont réussi en 2011 à se verser un salaire régulier. »
Doit-on rappeler que nous traversons une crise extrêmement difficile depuis 2008 ou bien font-ils exprès de laisser ce point à l'écart afin de prendre des décisions incohérentes et/ou de faire peur aux gens avec des propos parfaitement en décalage avec la situation ?

4) « Certaines personnes créent leur auto-entreprise car elles n'ont pas d'autres possibilités de travailler », analysent les spécialistes de l'Insee. Selon une précédente étude de l'institut, un tiers des auto-entrepreneurs inscrits au premier semestre 2010 étaient auparavant demandeurs d'emploi. Et sur la même période, les trois quarts des auto-entrepreneurs affirmaient qu'ils n'auraient pas créé d'entreprise sans l'existence de ce régime. »
C'est toujours mieux et même louable que de profiter des aides de l'état tout en ne devant rien à personne ! Supprimer ou restreindre le statut d'auto-entrepreneur serait une porte ouverte à un retour massif du travail au noir ! A méditer ! Car, en tout logique, un an ou même dix-huit mois ne suffisent pas à rendre une activité durable.

Finalement, n'allons-nous pas vers une préférence pour l’état à l'assistanat ? Là est un autre débat !
De grâce, laissez-nous travailler ! 

Comme toujours, vous pouvez faire part de votre avis en commentaires tout en conservant respect et correction. J'apprécie de lire les différents points de vue, de les analyser pour les comprendre.


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Parutions Trinôme Editions

Deux auteurs en dédicace...


Marie Barrillon et Michèle Sébal présenteront leurs ouvrages édités par Trinôme Editions à la Brasserie des Orgues le samedi 08 décembre à partir de 19H30.

Marie BARRILLON vous fera découvrir son album jeunesse "Poil d'or, le lapin géant"

Ecrivain public
Poil d'or, le lapin géant
















Ainsi que son roman "La vie est parfois une surprise".

La vie est parfois une surprise


Michèle SEBAL vous présentera son roman "Secrets d'anges".

Secrets d'anges













Trinôme Editions aura le plaisir de vous offrir un verre à cette occasion.

Cette rencontre se déroulera le samedi 8 décembre 2012 à partir de 19:30, Brasserie des Orgues au 38 Rue Riquet, 75019 Paris

Trinôme Editions annonce également la sortie de l'ouvrage "Sorties de crises" de Pierre CHALMIN.

Trinôme a choisi une souscription pour lancer cet ouvrage édité à 300 exemplaires numérotés.



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Le mariage homosexuel

Le mariage pour tous ?

Le mariage homosexuel... Comme tout un chacun, j'ai mon avis sur la question.
Sur le net, je vois d’innombrables commentaires et réactions. Certains sont tout à fait sensés tandis que d'autres font état d'une méchanceté purement gratuite. Cette dernière m'insupporte et m'exaspère. Ne peut-on pas s'exprimer avec respect ?

Il faut avouer que ces derniers temps avec toutes les réactions qu'engendre le projet de loi en faveur du mariage homosexuel, on ne peut pas dire que notre société soit tolérante ne serait-ce qu'un minimum. Comme tout le monde, j'ai mon avis sur le sujet, celui-ci n'engage que moi et, je le sens déjà, déplaira fortement à tous les détracteurs.

Mariage homosexuel
Ecrivain public
Néanmoins, des goûts et des couleurs on ne discute pas, c'est ce que dit le dicton, que nous entendons si souvent répété par les uns et les autres. Je précise tout de même, afin d'éviter tout malentendu et toute animosité inutile, que même si je ne suis pas en accord avec certains avis, je respecte tout de même les êtres qui les portent. Cela dit, je n'en dirai pas de même lorsque la méchanceté est présente et pour le moins gratuite et qu'elle n'a pour unique but que de blesser sans vergogne. Une divergence d'opinion n'empêche pas la correction et le respect. Expliquer une opinion permet au moins l'analyse, voire une certaine compréhension. A mon sens, on peut analyser et comprendre des avis contraires aux nôtres sans pour autant y adhérer.

Pour ma part, estimant que chacun fait ce qu'il veut de sa vie, chacun a donc le droit d'aimer qui il veut. L'homosexualité n'est pas une maladie et personne ne décide de l'être sur un simple coup de tête.

On en revient donc à mon article précédent «Fais pas ci, fais pas ça» lorsque j'y expliquais que le fait de ne pas entrer dans des cases prédéfinies par les codes établis empêchent ceux qui y sont bien cloisonnés d'accepter les différences.

Le monde est fait de différences et ce depuis que le monde est monde, à cela personne n'y changera rien. L'homosexualité a toujours existé, tout comme la bisexualité. D'ailleurs, Wikipédia ne nous contredit pas sur ce point puisqu'il nous explique (entre autre) ceci : «L'homosexualité fait partie de la sexualité humaine mais aussi animale. [...] En 1791, la France est le premier pays à dépénaliser complètement l'homosexualité... [...] Les recherches menées sur nombre d'animaux ont révélé que la plupart des espèces présentent des comportements sexuels orientés vers le même sexe.»

Au fil du Net, on peut également lire sur d'autres sites et blog des informations qui vont dans le même sens. Par exemple, sur le site heterhomo.org, il est cité ceci : «En Mésopotamie on a trouvé un écrit datant de 4000 ans avant JC témoignant de l'existence d'un homosexuel»

Au cours de mes recherches, je découvre un blog : TPE-homosexualité.blogspost.fr... portant sur l'histoire de l'homosexualité.
Dès les premières lignes, l'évidence est présente sur le fait que l'homosexualité est très ancienne. Pour exemple, j'ai relevé les quelques points suivants : «Les premières traces de l'homosexualité apparaissent à l'antiquité. L'élite avait le droit d'être homosexuelle, car la sexualité n'était pas seulement réservée à la procréation mais aussi au plaisir de l'homme. En Egypte, les pharaons disposaient de leur harem de beaux jeunes hommes... [...] Au Japon, les samouraïs ne cachaient pas leurs relations homosexuelles. [...] Jusque là, dans là Grèce Antique on pouvait tout de même vivre une «certaine liberté sexuelle» sans être hors là loi. [...] Mais tout évolue avec le puritanisme qui sera instauré par les romains...»
Je vous laisse découvrir l'article dans sa totalité sur ce lien TPE-homosexualité.blogspost.fr

Personnellement, je n'ai rien contre le mariage homosexuel, me positionnant ainsi envers et contre les détracteurs, certes. Cependant, que deux personnes de même sexe soient unies ne me dérange absolument pas et ne changera jamais rien à ma vie.

Par contre, ce dont je ne peux (et ne pourrais jamais) adhérer c'est l'adoption
Pourquoi ? Tout simplement parce que vis-à vis de l'enfant et par pure notion de filiation, nous nous placerions devant un problème difficilement gérable.

Mais alors...

Ne pouvons-nous pas accepter le mariage homosexuel sans pour autant valider l'adoption ?
Rien n'est impossible et rien n'est immuable. Les mentalités évoluent, le monde change et parfois ce n'est pas sans grincements de dents.

Donc, oui au mariage homosexuel et non à l'adoption, de cette manière tout le monde aura eu sa part de concession et chacun sera content !

Et vous, qu'en pensez-vous ?
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Fais pas ci, fais pas ça...

Et pourquoi devrait-on être comme tout le monde ?


Alors que chaque être à son propre ADN où encore des empreintes uniques, pourquoi donc n'en serait-il pas de même pour les agissements, les comportements, la personnalité de chaque personne ? 
Parce qu'il a été établi des codes qui «permettaient» à chacun d'entrer dans des cases prédéfinies.

Quelle tristesse au fond, car à mon sens voilà une des raisons importantes, sinon la plus importante, qui empêche bon nombre de gens d'accepter les différences.

Fais pas ci, fais pas ça...
Ecrivain public
Je ne suis pas comme tout le monde.
Je n'agis pas comme tout le monde.
Je ne raisonne pas comme tout le monde.
Je ne m'habille pas comme tout le monde.

J'apprécie au plus haut point mon indépendance de vie, ma liberté d'esprit, mes choix et mon libre arbitre, partant du principe que chaque être s'appartient à lui même sans que quiconque n'ait un droit de regard sur ses choix, ses actes et encore moins ses pensées où ses idées.  

Cela fait-il de moi quelqu'un d'anormal pour autant ? A mon esprit non, sans l'ombre d'un doute, alors que pour d'autres le oui sera si affirmatif que dans leur esprit le doute ne sera pas non plus permis.  

Et pourtant...  

Où commence vraiment la normalité et plus encore, où s'arrête-t-elle ? Parce qu'en définitive, la normalité est pour le moins difficile, pour ne pas dire impossible, à cerner puisque ce qui peut paraître normal pour les uns ne le sera pas forcément pour les autres. Chacun en a ses propres critères d'acceptation, sa perception personnelle.

Wikipédia nous dit ceci : «La normalité est ce qui est conforme à ce dont on a l'habitude, ce qui ne surprend, ne dérange ni n'attire la curiosité. C'est une notion vague, redéfinie en fonction de chaque personne, selon ce qu'elle est. Une chose normale est donc perçue quasiment inconsciemment et on ne s'en souvient pas facilement, alors qu'une chose anormale éveille l'attention et est facilement retenue par le cerveau.»  

Voilà qui me rassure donc car selon cette définition, mon raisonnement serait dans le vrai, je raisonnerais donc «normalement». Mais alors, moi qui aime à penser que je ne suis pas comme tout le monde, tout en le constatant régulièrement d'ailleurs, serais-je dans l'erreur ?

Voici donc un sujet de réflexion pour alimenter mes futurs vieux jours !  

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Vidéo de présentation

Voici une petite vidéo de présentation de mon activité.

Je ne suis pas une professionnelle de la vidéo, cependant comme tout autodidacte j'aime apprendre et surtout m'imposer des défis. Donc, j'ai fait cette petite vidéo avec beaucoup de plaisir, tout en sachant qu'elle n'est pas parfaite.



Merci à tous les visiteurs qui me donneront leur avis, partageront leur ressenti, feront des suggestions pour me permettre de l'améliorer si besoin. Merci également à tous ceux qui mettront un +1 et/ou la partageront.


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